Le parcours de Tristan vers sa métamorphose n’a pas été sans épreuves.
À 20 ans, fasciné par l’art corporel, il a entamé ce voyage avec une passion ardente, ignorant les défis à venir. Les séances de tatouage, en particulier sur son visage et sa tête, ont testé les limites de sa résilience, la douleur souvent comparée à celle d’un grattage incessant avec une brosse métallique. Pourtant, malgré l’intensité de cette douleur, Tristan a continué, poussé par une force intérieure et une détermination à voir sa vision artistique prendre vie.
Sa persévérance l’a conduit à des heures innombrables passées sous l’aiguille du tatoueur, chaque séance ajoutant à la toile de son histoire personnelle. Mais que se passerait-il si cette quête de l’expression de soi venait à compromettre sa relation avec ceux qu’il aime?
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